Concours : du chocolat aux couleurs de la SF et de la Fantasy

Qu’est-ce qui réunit le passé et le futur ? La gourmandise pour le chocolat ! Imaginez cette saveur sous votre palais, ce fondant qui réveille vos papilles, cette rondeur qui sublime vos sens, et oui, vous êtes un amateur d’imaginaire, alors profitez de ce concours gratuit !

Avec l’auteure de la série de SF, Celia Ibanez, nous vous proposons un petit jeu sur les réseaux sociaux, tel Facebook. Il vous suffit d’aimer ce jeu et de partager l’image, pour participer. Un tirage au sort aura lieu le 1er avril pour déterminer les 6 gagnants qui recevront par la poste les tablettes spéciales H+ et Heaven Forest.

À vous de jouer !

 

Les Imaginales 2015

logooffcielImaginales

A l’occasion de ma venue aux Imaginales 2015 afin de participer aux séances de dédicaces du stand de la revue Etherval, plusieurs conférences m’interpellent et me donnent très envie de les écouter.
J’espère donc pouvoir m’y rendre.

Faire revivre l’antiquité

Vendredi 29 mai à 16h au Magic Mirrors 1
Tout d’abord, parce que ces univers antiques revisités m’ont toujours beaucoup plu. Aussi bien Le Lion de Macédoine de Gemmel que L’Aube de Fer (de Stover) qui pour moi est un chef-d’œuvre dont malheureusement nous n’avons pas la suite du tome 1 en France, ce qui est bien dommage.
M’étant plongé dernièrement avec plaisir dans le monde romain pour travailler mon projet “Science fantasy”, j’aimerai beaucoup assister à cette conférence.

Mercenaires et tueurs professionnels

Samedi 30 mai à 10h00 au Magic Mirrors 1
Le thème est toujours plaisant, et j’avoue un certain penchant à en effet aimer ces fameux bad boys de la SFFF. Cependant, c’est surtout l’affiche exceptionnelle des intervenants qui me donne très envie d’assister à ce débat.

Romans inclassables

Dimanche 31 mai à 12h00 au Café littéraire
Pourquoi des frontières en effet entre les genres, entre les courants. Pourquoi la light dark fantasy est notée sur les sites très sérieux comme un paradoxe absolu ? (Ce que je tente de combattre à travers mon projet Comètes et conquêtes). Comment classer un roman qui reprend de la fantasy, du fantastique, de l’utopie, qui mélange beaucoup d’éléments afin de tenter de le faire rentrer dans de petites cases ?
Iconoclaste n’est pourtant pas un gros mot… Cependant, Ovni  est une formulation bien plus dynamique et sympathique, je trouve.
Ce thème (cette bataille ?) m’interpelle et j’aimerai bien savoir comment les intervenants ont surmonté leurs propres obstacles.

Les 24 heures de la nouvelle – édition 2015

24heuresdelanouvelleGrace au  « 24 heures de la nouvelle », les journées du 9 et 10 mai 2015 ont vraiment été aussi passionnantes que palpitantes !

Cette année, la contrainte de ce défi était : “L’histoire doit intégrer un lieu abandonné depuis un certain temps. Que ce soit juste une pièce oubliée, un château en ruine, une ancienne station de métro désaffectée ou encore un vieux jardin en friche par exemple.”

Plus de 6 litres de café, la fin de ma boîte de sachet d’earl grey, 19 heures de frappe sur le clavier, 65 750 signes espaces comprises, des heures de motivation collective avec le groupe des auteurs en ligne, de très belles guerres des mots, voilà une expérience dont je me souviendrai longtemps avec un grand plaisir !

Il en ressort un texte long (à l’égale de ma phrase précédente), nommé “Héritage”.
Il s’intègre dans l’univers de Heaven Forest, mon diptyque.

Mon premier jet, ainsi que celui des écrivains présents ayant participé à cette édition, est disponible à la lecture sur le site officiel :
http://24hdelanouvelle.org/

Vous pouvez aussi le retrouver dans ma rubrique des projets : nouvelles en libres accès.

Cela sera avec plaisir que j’espère pouvoir renouveler l’expérience l’année prochaine.

Quand l’imagination est rejointe par la réalité

Photo d’Terpsichore

Automne-Terpsichor-Putride

Lors de l’écriture de Heaven Forest, j’avais choisi que le récit se déroulerait dans l’équivalent du Pays de Galles. Tout d’abord, parce que je voulais une terre peu peuplée, assez isolée, plutôt sauvage, avec une côte, et à l’ouest de Londres. Ensuite parce que l’ancien port de Cardiff, si rayonnant à l’époque de la grande exportation du charbon et de la tourbe, m’avait impressionné. J’y voyais une belle correspondance avec l’export du manaschiste.

J’avais peuplé ma Grande Forêt de bouleaux, de saules, de chênes, parce qu’il s’agissait honteusement des seuls arbres dont je savais le nom en anglais… On m’a alors conseillé, avec une grande justesse, d’oublier mes arbres méditerranéens Lire la suite