Les Lyrics amers, recueil

Le 22 juin est sorti, chez Nat Editions, Les Lyrics amers, un recueil de quatre textes fantastiques auxquels je suis très arrachée. On retrouve ma nouvelle « Les Cordes écarlates », mais dans un nouvel écrin, celui de la ville d’Avignon. Vous pourrez aussi découvrir un autre de mes récits : « Dans la douceurs des Alyscamps », en honneur de la ville d’Arles où j’ai passé de si belles années pendant mon internat. Ces deux textes, doux amers, sont emprunts de lyrisme, voire d’une touche de littérature gothique, des styles dans lesquels la plupart des lecteurs ne me connaissent pas encore.

La 3e nouvelle, « L’Oraison du Faucon », offre une suite à l’un des deux récits, avec pour cadre une vengeance à travers la Camargue et les Saintes-Maries-de-la-Mer. La 4e nouvelle conclut le recueil par « Quelques touches de lumière » et de douceur à travers une romance dans le monde des arts… et d’un sanatorium des Alpes. Oh ? auriez-vous toussé à la lecture de cette association ? Eh bien, prenez place, une chambre vient de se libérer. N’oubliez donc pas d’emporter ce précieux recueil !

Il peut être commandé ici !

Titre : Lyrics amers en Provence
Genre : Recueil de nouvelles fantastiques et fantasy
Format : A5 broché, 192 pages
ISBN : 978-3-95858-284-2
e-ISBN : 978-3-95858-285-9
Distributeurs : Sodis, Libris, KNV, Umbreit, Immateriel…
Prix : 14,00 €
Parution : 22 juin 2020

Synopsis

Bienvenue en Provence, terre de soleil aux ruelles parfois sombres, régions de nature et de cités, de mer et de fleuves, de Camargue et de montagnes. D’Avignon aux Alpes, en passant par Arles et les Saintes-Maries-de-la-Mer, découvrez quatre récits de passions dévorantes et d’art, de fuite de de nostalgie, de vengeance et de rédemption, d’ensorcellement et de créativité. Que la musique des mots vous berce et vous emporte dans le sillage du fantastique !

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Les Cordes écarlates
Dans la douceur des Alyscamps
L’Oraison du faucon
En quelques touches de lumière

Avis sur Heaven Forest tome 2 : Solitudes et sacrifices

Les Pipelettes en parlent consacrent une chronique sur le tome 2 de Heaven Forest : Solitudes et Sacrifices.

Avis : Quel plaisir j’ai eu à lire Solitudes et sacrifices. Toujours aussi prenante et énigmatique, l’intrigue de ce deuxième tome n’a rien à envier à Darkwood. […]

Plaisir d’abord, de retrouver les personnages du premier opus : Rhys Overlake [et] Lisbeth Other. Mais Solitudes et sacrifices introduit surtout bon nombre de nouveaux personnages apportant une autre dimension à l’intrigue. […]

En ce qui concerne cette dernière, j’avais l’impression que cette saga allait être un policier fantastique, avec comme intrigue principale la résolution du meurtre d’Else. Mais c’est finalement une toute autre histoire qui se dévoile dans Solitudes et Sacrifices. On se retrouve directement aux prémices d’une nouvelle guerre opposant les Saints et les Anges. […]

Il y a tant de choses à dire sur Solitudes et sacrifices et cette saga en général, de subtilités dont je voudrais parler. Mais j’ai peur d’en dire trop. Au final, ce tome apporte encore plus de questionnements et de suspens, MAIS sans rendre la lecture ennuyeuse ni donner l’envie d’abandonner. Je ne peux que vous le recommander et espérer qu’il vous plaira autant qu’à moi.
J’attends maintenant avec impatience le troisième tome, en croisant les doigts pour qu’il soit à la hauteur des deux premiers. Mais je suis assez confiante à ce niveau et je ne pense pas que je serai déçue.

Extrait de l’avis de Pauline

Pour lire l’article complet, n’hésitez pas suivre les liens.

Pour une étincelle, revue Pénombres n°7 : Âtres et bougies

 

Une nuit d’orage, une panne d’électricité, un téléphone qui n’a presque plus de batterie, un jeune homme qui se débat contre les ténèbres qui veulent le dévorer lui, et la lumière de sa vie.

La revue numérique Pénombres  n°7 :  Âtres et Lumières comporte également les nouvelles d’Anthony Boulanger, d’Ulice, d’Ophélie Hervet, de Christophe Tréfeu.

Pour lire un bref extrait de mon texte, c’est par ici.

(Illustration de Marie-Charlotte Granié)

La gaslamp fantasy ?

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Pendant longtemps, j’ai eu des difficultés à classer Heaven Forest parmi les genres (très nombreux) des récits de l’imaginaire. Je répondais « c’est à la croisée des chemins, c’est tout sauf de la science-fiction ; quoique… ^^ »

Catherine Loiseau a été ma conseillère particulière sur les modes vestimentaires et les tenues des personnages de Darkwood, car elle est aussi bien une auteure talentueuse qu’une couturière habile et une fine connaisseuse du XIXe et de ses littératures.

Or, au cours d’une discussion, elle m’a signalé que mon roman comptait de nombreux critères du mouvement de gaslamp fantasy, aussi nommé parfois gaslight fantasy.

J’avoue que je ne connaissais pas. Vous non plus ? Voilà l’occasion de découvrir ce genre, assez méconnu sous nos latitudes francophones.  C’est par ici.

Le Cycle Magister de CS Friedman

Feast of SoulT1 : Feast of Souls (2007) (Festin d’âmes) 
T2 : Wings of Wrath (2009) (Les ailes de la colère) 
T3 : Legacy of Kings (2011)
Par Celia S. Friedman
The Magister Trilogy 
Edition : Bragelonne, Magisters, de Celia S. Friedman
On m’a souvent demandé pour Else Other porter ces étranges surnoms… « Le Cerf », « le Magister »…
Pour cette seconde question, je demeurai étonnée, pour moi, le mot portait en lui-même son sens.
« Magister » vient du latin, c’est le « maître », celui qui maîtrise et celui qui enseigne. En jeu de rôle, c’est aussi le « magicien ».
Je me suis alors demandé pourquoi le mot avait une telle évidence pour moi et non pour les autres.
J’ai réalisé en me lançant dans la lecture de mon tome 3 Legacy of Kings de CS Friedman d’où me venait cet étrange sentiment de familiarité, même si je connaissais déjà le terme depuis longtemps…
CS Friedman a écrit des livres (dont l’excellent cycle l’Aube du Soleil Noir) bien avant moi avec des scénarios, des personnages (jusqu’à leurs noms !) dont je pouvais retrouver des éléments forts dans mes propres histoires, quand bien même je n’avais lu les récits de Friedman qu’après avoir écrit les miens. J’ai remisé mes anciens textes au fond de mon disque dur avec une once de regrets, mais cette fois, je suis fière de ce petit clin d’œil qui d’involontaire devient à mon sens un bel hommage.
Et si vous voulez en savoir plus sur les Magisters et l’oeuvre de Friedman, c’est par ici.

Le cycle de Morgane (CJ Cherryh)

La porte de l'exileOn peut écrire de la dark fantasy, ne pas être avare sur la quantité de sang versé par les personnages, rendre rapidement veuves la plupart de ses héroïnes, et avoir un petit cœur romantique qui palpite au fond de la poitrine (si si).

Qui aurait pu croire que je mettrai à l’honneur une série, avec en trame de fond, une idylle qui ne dit pas son nom?

Hum… Oui, il y a aussi des morts. Des millers ou des millions, l’auteure, CJ Cherryh (celle de Citeen, de Forteresse des Etoiles, du cycle de Tristan, oui, oui, cette très grand auteure-là) les comptera pour moi. Et puis, des planètes au bord de la guerre, du désastre, et de nombreux autres drames. Pour en savoir plus sur les réjouissances de ce cycle, c’est par ici.

J-31 avant la césure des Cieux

Darkwood, le premier tome de ma série Heaven Forest, sort dans un mois très précisément aux éditions Hydralune.

Heaven-Forest_Tree.jpgUn petit mot sur la trame et l’ambiance ? Voici :

Dans une Double Breytain en plein bouleversement industriel, l’effervescence règne autour du manaschiste, combustible fossile dont l’utilisation révolutionne le monde en cette fin de XIXe siècle.

A Darkwood, capitale du duché de Heaven Forest, peu importent les mutations sur la population engendrée par l’exploitation de ce minerai, les autorités ont d’autres priorités, telle la sécurité du port où la mafia sévit.

Ainsi, quand le cadavre d’un inconnu est retrouvé mutilé près des docks, on confie l’affaire – certes singulière, mais de faible importance – à l’inspecteur détective Rhys Overlake, arrivé le jour même en ville. Et si cette enquête s’avérait bien plus complexe qu’un malheureux fait divers sordide ?

 

Warbreaker, Brandon Sanderson, avis de lecture

Warbreaker

Warbreaker, de Brandon Sanderson
Edition : Livre de Poche, existe aussi en broché anglais
Autour de 9,60

Cet auteur est déjà très réputé, surtout pour sa série Fils des brumes, que j’ai achetée, pas lue, prêtée à plein d’amis qui m’ont dit qu’elle est exceptionnelle (bref, il faudrait que je la lise…). Il est aussi l’auteur qui a été choisi pour finir la Roue du Temps de Jordan, puisque l’auteur est mort.

Sanderson conçoit pour chacune de ses séries un système de magie originale et que non, tout n’a pas déjà été fait.

Dans Warbreaker, la magie est puisée dans la couleur. Tout objet de couleur apporte une énergie au magicien qui la retisse pour en faire autre chose, puis la couleur disparaît. Un empire s’est ainsi bâti sur cette force, et y résiste seulement un petit royaume campagnard où l’on prend garde que la couleur soit rare pour ne pas donner des forces à l’ennemi.

Et si vous voulez en savoir plus, cliquer ici.